Cet article a été écrit par Doug Smith du Toronto Star. Afin de lire l’article complet, cliquez ici.

Ce fut un plaisir et un honneur de couvrir, surveiller et faire connaissance avec certains athlètes extraordinaires au cours d’un longue carrière, une partie vraiment plaisante de l’emploi qui ne peut jamais être prise pour acquise.

Il y en a quelques-uns que nous connaissons bien, tels les Vince et Steve Nash et Rocket Ismail à une certaine époque, un trop grand nombre d’Olympiens pour en faire une énumération complète et plusieurs Robbie Alomar qui nous ont offerts des performances étincelantes.

Par contre et malheureusement pour une vaste majorité d’amateurs sportifs occasionnels, plusieurs sont passé sous le radar ce qui ne veut pas dire qu’ils n’étaient pas des personnes de grande valeur et accomplies et c’est notre travail de s’assurer qu’elles reçoivent ce qui leur est dû.

Une athlète qui fait partie de cette catégorie – les personnes qui ne me lisent par régulièrement sauront tout de même que je m’en fait un point d’honneur – était Bev Smith, qui, à un certain moment, comptait parmi les meilleures joueuses de basketball au monde à une époque où les sports féminins n’obtenaient très peu l’attention qu’ils méritaient.

Voici que ce matin, ce fut un plaisir de m’éveiller et vérifier le fil Tweeter pour découvrir ce que j’avais manqué au cours de mon sommeil ou ma sieste et y voir que Bev Smith avait été élue au sein de l’équipe du Centenaire du Pac-12.