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Canada basketball

Les Canadiens Contribuent À Un Impact À Harvard

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2/2/2016

Le basketball a été un exutoire pour plusieurs athlètes en leur offrant l’occasion de se positionner pour réussir sur et hors du plancher. Nous avons récemment rencontré quatre Canadiens qui ont un impact dans la ‘Ivy League’.

Il s’agit des membres de l’équipe nationale masculine U19 de 2015, Chris Ego (2e année) et Corey Johnson (recrue) ; de l’équipe U18 de 2013, Agunwa Okoli (senior) ; et de l’équipe U17 2012, Patrick Steeves (senior).

#11 Chris Egi

2e année | Avant | 6’9’’ | 215 lb

Markham, Ont. | Académie Montverde

LES CHIFFFRES

  • A marqué sept points, haut point en carrière, soit 3 panier en 4 tentatives contre Bryant le 25 novembre.
  • A repris sont plus grand total de rebonds en carrière, soit huit, lors du match d’ouverture contre MIT le 13 novembre.

LES FAITS

Quels sont les facteurs qui t’ont mené à choisir une institution de “l’Ivy League” au cours de la période de recrutement ?

« Pour moi, la décision s’est basée sur le cheminement que je croyais être le meilleur pour m’aider à titre d’individu et non seulement en tant que basketteur. Le programme de basketball à Harvard sous le présent entraîneur est excellent et, accompagné de l’excellence académique de l’université, je sentais que Harvard serait ce qui est de mieux pour ma croissance personnelle. »

#25 Corey Johnson

Recrue | Garde | 6’5’’ | 200 lb

Ottawa, Ontario | Académie du Vermont

LES CHIFFRES

  • Mène l’équipe aux ‘trois points’ (40) et réussit 39,2% de ses lancers (40 en 102) au-delà de l’arc.
  • En début de carrière, a réussi au moins un ‘trois’ en 15 matchs consécutifs, la série la plus longue par une recrue sous l’égide de Tommy Amaker.

LES FAITS

Y a-t-il des leçons que tu as apprises dans le sport que tu as utilisé dans les autres facettes de ta vie ?

« J’ai beaucoup appris dans le sport, qu’il s’agisse de contrer l’adversité jusqu’à apprendre à me pousser pour devenir meilleur. N’eut été de ces importantes leçons, je ne serais pas ici aujourd’hui. Le basketball m’a aidé à passer au travers des moments les plus difficiles de ma vie et m’a aussi donné mes meilleurs souvenirs. »

#35 Agunwa OKOLIE

Senior | Garde / Avant | 6’8’’ | 205 lb

Ajax, Ont. | Archbishop Denis O’Conner

LES CHIFFRES

  • Lors de la victoire de Harvard contre Auburn, le commentateur d’ESPN, Cory Alexander a dit : « Nous commençons à parler de la meilleure au pays, nous devons parler d’Agunwa Okoli comme étant possiblement l’un des meilleurs défenseurs au pays. ».
  • Désigné le joueur de la semaine du 11 janvier dans l’Ivy League après avoir marqué 29 points, un sommet en carrière, le 9 janvier contre Dartmouth, le troisième plus haut total sous Tommy Amaker. A marqué 14 des derniers 18 points de l’équipe dont 10 de suite pour concrétiser la victoire.

LES FAITS

Quels facteurs t’ont mené à choisir une institution de “l’Ivy League” au cours de la période de recrutement ?

« Simplement le fait que Harvard soit la meilleure institution au monde combiné à un excellent programme de basketball et un entraîneur extraordinaire de basketball. Vraiment une occasion unique dans la vie et la chance de pouvoir étudier à une université comme celle-ci. »

#10 Patrick STEEVES

Senior | Garde | 6’7’’ | 220 lb

Montréal, QC | L’École Hotchkiss

LES CHIFFRES

  • A établi un sommet en carrière de 20 points à l’aide de 4 lancers de trois points en 5 essais lors de la victoire contre Dartmouth en match d’ouverture le 9 janvier.
  • A marqué ou aidé sur les derniers 11 points de Harvard en temps réglementaire pour ensuite gagner en prolongation contre BYU le 22 décembre.

LES FAITS

Y a-t-il eu des leçons que tu as apprises dans le sport que tu as mis en pratique dans le reste de ta vie ?

« Je crois que l’une des plus importantes leçons que j’ai apprises dans le sport est de ne jamais accepter la défaite ou de me contenter de la médiocrité. Le basketball m’a appris qu’il est facile de quitter ou de me laisser aller, mais que le travail acharné requis pour atteindre mes objectifs et exploiter mon potentiel en vaut la peine à la fin. Sur le plancher comme dans le reste de la vie, l’individu ou l’équipe qui refuse de s’écraser ou d’accorder de l’espace connaîtra le plus de succès. »