L’équipe canadienne d’étudiantes-athlètes n’a pu contrer le ralliement d’Équipe Hongrie qui a eu le meilleur 60-55 à l’Universiade d’été de la FISU. L’équipe complète donc le tournoi de 16 équipes en huitième place.

Le Canada a débuté le match par de bons paniers. Un ‘trois points’ de Miah-Marie Langlois a donné un coussin de 11 points à Équipe Canada, mais la Hongrie a répondu et refermé l’écart à 17-10 à la fin de 10 premières minutes. Un deuxième quart serré a vu le Canada démarqué par trois points, mais l’équipe a terminé la demie en avance 33-29.

L’équipe hongroise est revenue du vestiaire en offrant une bonne défensive que le Canada n’a pu percer. Le Canada a été tenu à huit points durant le quart alors que la Hongrie en marquait 15. Un dernier quart serré a vu l’avance changer de côté à maintes occasions, mais les 14 points du Canada l’ont rapproché qu’à deux points du total de la Hongrie.

Dalyce Emmerson de Prince-Albert, SK, a mené le Canada avec 16 points accompagnés de huit rebonds, un de moins que Korissa Williams qui a aussi ajouté dix points. Miah-Marie Langlois a été efficace en défensive toute la soirée, totalisant sept vols de ballon en plus d’inscrire 13 points. Les statistiques complètes du match peuvent être conclues en cliquant ici.

L’entraîneur-chef Fabian McKenzie révise le tournoi et espère que ses joueuses auront appris de leur séjour à Kazan. « Nous somme bien sorties et avons joué solidement, mais avons perdu notre rythme. C’est désappointant comme fin de tournoi. Dans l’ensemble, j’espère qu'elles ont appris de cette expérience multisports où vous avez la chance de faire face à une variété de styles à chaque jour. »

Dalyce Emmerson ajoute : « Nous nous sommes battues et joué agressivement à certains moments, mais nous n’avons pas exécuté notre plan de match aussi bien que dans d’autres matchs. Dans l’ensemble, ce fut, pour moi, une grande expérience. C’est désappointant, mais nous avons définitivement appris quels points de notre jeu doivent s’améliorer en tant que joueuses afin de jouer à un autre niveau. Nous aurions aimé faire mieux, mais nous avons appris de cette compétition. »

À la fin de ses commentaires, Fabian McKenzie insiste sur la nécessité de croître et se développer en tant qu’athlètes de haute performance. « Nous espérons qu’elles ont acquis des outils qu’elles pourront apporter à leurs équipes universitaires et leurs entraînements quotidiens de façon à ce lorsqu’elles auront une autre occasion de jouer au sein d’une équipe nationale, elles pourront porter leur jeu et leurs habiletés à un autre niveau.

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